Gengoroh Tagame, né le 3 février 1964 au Japon, est un artiste mangaka.
Il est connu
pour ses illustrations homo-érotiques très crues, voire franchement
pornographiques, qui reprennent les codes des mangas pour adultes les plus
violents.
Il est un des rares artistes gays japonais à représenter des scènes aussi crues avec des rapports sexuels souvent sado-masochistes, barbares ou sanglants, et de récurrentes scènes de viols, dans un contexte militaire ou policier.
Il est un des rares artistes gays japonais à représenter des scènes aussi crues avec des rapports sexuels souvent sado-masochistes, barbares ou sanglants, et de récurrentes scènes de viols, dans un contexte militaire ou policier.
Il a commencé sa
carrière en tant que directeur artistique après des études de design graphique
à l'Université des Beaux-Arts Tama. Il réalise ses premiers
mangas en 1986. Ses travaux sont publiés dans différents magazines gay
japonais, dont G-men et SM-Z.
Tagame est considéré jusqu'à présent comme le créateur le plus influent du manga gai au Japon, et l'auteur le plus doué et le plus célèbre du manga gai sadomasochiste ».
Jiraiya est né en 1967 dans une modeste famille ouvrière de Sapporo au Japon. Vers la fin des années 1980, il découvre le magazine gay Sabu, et est impressionné par les illustrations de Gengoroh Tagame.
Jiraiya a d’abord été mangaka pour Shogakukan, puis concepteur. Sa carrière en tant qu'artiste a commencé en 1998 quand, à 31 ans, il propose ses dessins et est édité dans le magazine G-hommes. Il est devenu l'artiste exclusif de couverture pour ce magazine en 2001, remplaçant Gengoroh Tagame après son départ.
Jiraiya s’est spécialisé dans l'art du pin-up - des hommes hypers masculins avec de fortes masses musculaires.
Il a été l'un des premiers artistes gais à employer intensivement l'illustration numérique. Son style de dessin hyperréaliste est le résultat d'un processus dans lequel il crée un croquis à main levée à partir de références photographiques où il mélange des parties du corps de différents hommes.
L'iconographie japonaise est fortement présente dans ses illustrations (uniformes de kendo et de judo, moines bouddhistes, costumes de festival, et fundoshi…)
Ses dessins sont généralement comiques et joyeux, contrairement aux illustrations sadomasochistes de ses pairs.
.Source texte : Wikipédia
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